Interfédérale Education 25/02
Une interfédérale de l’Éducation s'est tenue le 25 février dans les locaux de la FSU.
Étaient présents : la CGT, FO, SUD, la FAEN, la CNT et la FSU.
La CFDT et l'UNSA ont décliné l'invitation.
Lors de cette réunion, la CGT Éduc’action a porté la nécessité de donner une suite à la forte mobilisation des personnels du premier degré lors de la grève du 12 février. Pour nous, cela passe impérativement par un appel à la grève avant le 31 mars 2013.
Malgré un taux de grévistes chez les professeurs des écoles de 60 %, le ministre refuse toujours d'entendre les revendications des personnels, particulièrement sur la question des rythmes scolaires. Pire, Vincent Peillon, sans aucune concertation, annonce son souhait de mettre en place un zonage des vacances d'été.
Les fédérations présentes ont fait une analyse de la situation proche de la nôtre. Elles se sont exprimées pour une poursuite de l'action au mois de mars, à l'exception de la FSU qui a exclu toute participation à une action de grève durant le mois de mars.
Étaient présents : la CGT, FO, SUD, la FAEN, la CNT et la FSU.
La CFDT et l'UNSA ont décliné l'invitation.
Lors de cette réunion, la CGT Éduc’action a porté la nécessité de donner une suite à la forte mobilisation des personnels du premier degré lors de la grève du 12 février. Pour nous, cela passe impérativement par un appel à la grève avant le 31 mars 2013.
Malgré un taux de grévistes chez les professeurs des écoles de 60 %, le ministre refuse toujours d'entendre les revendications des personnels, particulièrement sur la question des rythmes scolaires. Pire, Vincent Peillon, sans aucune concertation, annonce son souhait de mettre en place un zonage des vacances d'été.
Les fédérations présentes ont fait une analyse de la situation proche de la nôtre. Elles se sont exprimées pour une poursuite de l'action au mois de mars, à l'exception de la FSU qui a exclu toute participation à une action de grève durant le mois de mars.
La FSU a proposé à toutes les autres organisations syndicales de participer à une manifestation nationale le samedi 6 avril 2013 sur leur plate-forme, au moment du débat parlementaire sur la loi d'orientation sur l'école.
Sans écarter cette proposition, la CGT considère qu'elle ne peut pas constituer la seule réponse des personnels à la volonté de passage en force de Vincent Peillon, d'autant que la date retenue semble bien tardive pour peser sur les débats.
C'est la raison pour laquelle nous avons invité toutes les fédérations qui partagent notre analyse à une nouvelle réunion au début de la semaine prochaine, dans nos locaux, pour décider d'une date de grève au mois de mars 2013.