La CGT condamne sans réserve les violences
Communiqué commun de la CGT et de la fédération CGT Santé - Action sociale
La CGT condamne sans réserve les violences commises le 14 juin 2016 à l’AP-HP
La CGT condamne sans réserve les violences commises le 14 juin 2016 à l’AP-HP
mercredi 15 juin 2016
La CGT apporte tout son soutien à l’ensemble des personnels de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris face aux dégradations commises sur certains de leurs établissements et particulièrement l’Hôpital Necker en marge de la manifestation parisienne.
Nous ne tolérons aucune de ces violences perpétrées par quelques individus en dehors des manifestations, comme celles qui gratuitement endommagent des établissements de soins au service des populations.
Ces actes aveugles n’ont d’autre objectif que de tenter de discréditer le mouvement qui légitimement s’oppose à la loi Travail.
Ces casseurs ont détruit des biens publics, ce qui a provoqué des ripostes de la part des forces de l’ordre, vis-à-vis des manifestants pacifiques.
Dans le cortège, des militants de la Fédération ont été blessés alors qu’ils soignaient une personne à terre. Des casseurs brisent les vitres d’un hôpital et des CRS chargent, gazent des soignants pendant qu’ils portent secours aux victimes... Voilà le vécu et la description de certains témoignages.
Ce cortège gigantesque était composé de centaines de milliers de personnes, soit 1,3 million dans toute la France, venues simplement manifester pacifiquement pour le rejet de la loi Travail.
Il est regrettable que certains médias ne retiennent que les actes de violence, certes condamnables, et relèguent au deuxième plan les revendications légitimes contre le projet de cette loi.
La CGT condamne sans réserve tous les actes de violence, d’agression et de vandalisme. Une nouvelle fois, nous réaffirmons qu’il est de la responsabilité de la puissance publique d’assurer la sécurité des biens et des personnes et le maintien de l’ordre.
Nous ne tolérons aucune de ces violences perpétrées par quelques individus en dehors des manifestations, comme celles qui gratuitement endommagent des établissements de soins au service des populations.
Ces actes aveugles n’ont d’autre objectif que de tenter de discréditer le mouvement qui légitimement s’oppose à la loi Travail.
Ces casseurs ont détruit des biens publics, ce qui a provoqué des ripostes de la part des forces de l’ordre, vis-à-vis des manifestants pacifiques.
Dans le cortège, des militants de la Fédération ont été blessés alors qu’ils soignaient une personne à terre. Des casseurs brisent les vitres d’un hôpital et des CRS chargent, gazent des soignants pendant qu’ils portent secours aux victimes... Voilà le vécu et la description de certains témoignages.
Ce cortège gigantesque était composé de centaines de milliers de personnes, soit 1,3 million dans toute la France, venues simplement manifester pacifiquement pour le rejet de la loi Travail.
Il est regrettable que certains médias ne retiennent que les actes de violence, certes condamnables, et relèguent au deuxième plan les revendications légitimes contre le projet de cette loi.
La CGT condamne sans réserve tous les actes de violence, d’agression et de vandalisme. Une nouvelle fois, nous réaffirmons qu’il est de la responsabilité de la puissance publique d’assurer la sécurité des biens et des personnes et le maintien de l’ordre.